03/02/2022
Toulouse
Avec la hausse des prix de l’immobilier et consécutivement aux envies d’espace et de verdure, après les confinements liés à la covid-19, les communes en première périphérie des grandes métropoles profitent de l’appétence marquée pour l’immobilier des Français. À Toulouse, l’Union ou Saint-Jean tirent actuellement leur épingle du jeu, en attirant aussi bien les investisseurs que les jeunes actifs…
La crise de la covid-19 a modifié tout autant les structures de vie et de travail des Français. Après l’expérience des premiers confinements, ces derniers ont aspiré à davantage d’espaces et de verdure dans leur vie quotidienne. Et, avec le développement du télétravail, ils s’imaginent davantage vivre un peu plus loin des grandes métropoles. Aujourd’hui, cette dynamique conduit les Toulousains à envisager de s’installer en première périphérie, dans la ville de l’Union et de Saint-Jean.
Dans un communiqué de presse de la Cour d’Appel de Toulouse, « Marché de l’immobilier de la Haute-Garonne : des prix et des volumes étonnants en pleine crise sanitaire », il est précisé que « des communes comme […] l’Union, parviennent à dépasser [le] prix médian toulousain sur les appartements anciens ».
Autrement dit, le prix élevé de la Ville Rose n’explique pas le déport des recherches au-delà de la rocade extérieure : aujourd’hui, les jeunes actifs (et investisseurs) désirent concilier une vie de travail et de loisirs dans un environnement aussi verdoyant que vivant – ce qui les entraîne aisément vers des villes dites moyennes autour de Toulouse…
Face à cette quête de meilleure qualité de vie, les jeunes actifs n’hésitent plus à se tourner vers des villes comme l’Union et Saint-Jean, de moins de 20 000 habitants. Ces terres offrent des atouts devenus essentiels à ce public – que ce soit dans l’immobilier neuf, à savoir un espace extérieur et des logements modernes aux belles qualités énergétiques, ou au niveau du cadre de vie, à travers une moindre pollution et des commerces de proximité, sans oublier des infrastructures scolaires (crèches, écoles et collèges).
Situées à moins de 25 minutes du centre-ville de Toulouse, l’Union et Saint-Jean attirent les jeunes actifs et les investisseurs par leur proximité avec la Ville Rose et ses parcs d’activité (Lalande, Gramont, Fondeyre…) et par leur cadre verdoyant (parcs et lacs). Elles bénéficient aussi, toutes les deux, d’un réseau de transport bien maillé avec Toulouse (bus, métro…). Enfin, elles séduisent par leurs animations et offres de loisirs : des marchés hebdomadaires, des restaurants, des salles de sport et des spectacles.
Si vous désirez investir à l’Union ou à Saint-Jean, rapprochez-vous du conseiller Bertrand-Demanes de Toulouse. Malgré un contexte de pénurie dans l’aire toulousaine, il saura vous orienter vers les derniers lots disponibles dans les programmes neufs du secteur ou vous suggérer d’autres opportunités sur le territoire. Mieux, il saura les faire se conjuguer avec vos objectifs de placements financiers et votre situation personnelle et professionnelle.
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Sources :
https://immobilier.lefigaro.fr/annonces/edito/j-emmenage/acheter/toulouse-metropole-lunion-et-saint-jean-nouvelles-places-to-be
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