02/06/2021
Toulouse
Compte tenu des prix relativement élevés de la métropole toulousaine, les investisseurs se tournent davantage vers sa périphérie : malgré une demande soutenue et une offre insuffisante, elle reste très dynamique. Présentation du marché immobilier de Toulouse et des réelles opportunités de sa banlieue – notamment dans le neuf.
Première conséquence de la pandémie liée à la Covid-19, les acquéreurs toulousains recherchent activement un logement avec un extérieur : avec ce critère désormais incontournable, les maisons sont devenues très prisées. Mais face à un prix moyen de 3 763 € le mètre carré pour ce type de biens, les futurs acheteurs préfèrent se tourner vers la première couronne de Toulouse où les prix sont plus abordables. Sans compter qu’ils gagneront également en surface, un second critère apprécié des potentiels télétravailleurs…
Parmi les communes les plus attractives, on retrouve les villes bien desservies en transport en commun, à l’image de Tournefeuille, située à 13 kilomètres de Toulouse, tout en étant proche de l’aéroport de Blagnac et de son pôle aéronautique. Saint-Orens-de-Gameville, dans le strict opposé, intéresse les acheteurs pour sa proximité avec le complexe commercial de Labège.
Autre conséquence de la crise sanitaire, les acheteurs n’hésitent plus à s’éloigner des métropoles pour gagner en surface, mais aussi en espaces verts et plus globalement, en qualité de vie. Une quête qui les emmène parfois dans les départements limitrophesde la Ville rose.
Naturellement, dans des communes plus petites, les prix sont aussi nettement plus attractifs : quand Toulouse affiche un prix médian au mètre carré sur les appartements anciens de 3030 €, Albi est à 1900 €, Rodez et Montauban à 1520 €, Auch à 1310 €, Foix à 1140 €, Cahors à 1120 € et Tarbes à 1050 €. Pour les maisons anciennes, la Haute-Garonne affiche un prix de vente médian à 250 000 € quand le Tarn-et-Garonne est à 160 000 €, le Tarn à 144 900 €, le Gers à 149 300 €, les Hautes-Pyrénées à 141 600 €, l’Aude à 134 800 € et l’Ariège à 106 000 €.
Bien que mis en difficulté par la crise de la Covid-19, avec de nombreux retards dans ses chantiers, l’immobilier neuf à Toulouse doit faire face à une réalité démographique : plus de 5 000 habitants arrivent chaque année dans la Ville rose. Dès lors, l’ambition est de créer 7 000 appartements neufs par an pour les accueillir.
Soutenus par l’État avec le dispositif Pinel, le prêt à taux zéro et la TVA à 5,5 % dans la zone ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation urbaine), de nombreux programmes immobiliers sont actuellement en chantier :
N’hésitez pas à contacter le conseiller Bertrand-Demanes de Toulouse pour discuter des opportunités disponibles dans sa ville, ainsi que des dispositifs de défiscalisation pertinents par rapport à votre situation personnelle.
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Sources : https://edito.seloger.com/conseils-d-experts/immobilier-local/villes-peripheriques-de-toulouse-attirent-de-plus-plus-acheteurs-interview-41702.html
https://edito.seloger.com/actualites/villes/marche-immobilier-autour-de-toulouse-ne-manque-d-attractivite-interview-38278.html0
https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/immobilier-ces-villes-pas-si-eloignees-de-toulouse-qui-profitent-de-la-crise-du-covid_40382148.html
https://solutions.lesechos.fr/financement-assurance/c/programmes-neufs-a-toulouse-les-mises-en-chantier-de-limmobilier-24392/
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