30/09/2020
Conseils d'investissement
Faire un investissement immobilier n’est pas l’apanage des personnes avec de hauts revenus : quels que soient vos moyens financiers, vos envies et vos objectifs, il existe forcément un placement adapté. Focus sur les 3 grandes familles d’investissementdisponibles sur le marché.
Évident pour la plupart des Français, le premier investissement immobilier concerne sa résidence principale, voire sa résidence secondaire. En devenant propriétaire de son habitation, l’occupant fait l’économie des loyers qu’il peut ainsi consacrer, le cas échéant, au remboursement de son emprunt. Même s’il arrive qu’une offre de prêt soit formulée sans apport, la majorité doit apporter, a minima, 10 % du prix du logement – ce qui représente quelques milliers d’euros.
Ce type d’investissement est adapté aux personnes plutôt sédentaires qui envisagent de vivre plusieurs années au moment endroit. Considéré comme un placement passif, il offre une certaine sécurité à ses détenteurs.
En 2019, le quart des achats immobiliers concernait un investissement locatif. Ce type de placement réclame l’aide d’un professionnel comme Bertrand-Demanes, afin de démêler toutes les options disponibles et choisir la plus adaptée à la situation de chaque investisseur. En effet, il est possible d’opter pour de la location nue ou meublée, d’acquérir un logement, un local ou un garage. En termes de fiscalité, plusieurs régimes peuvent intervenir : nu, LMNP (Loueur en Meublé Non Professionnel), Pinel, Denormandie… Le rendement d’un tel placement peut évoluer de 1 % à 10 % net en fonction des cas.
Orchestré par un professionnel compétent, un investissement locatif peut offrir de belles opportunités, dans la mesure où tous les risques ont correctement été appréhendés en amont : risque de moins-value, dégradation du bien, impayés, vacance locative, etc.
Un investissement immobilier ne réclame pas systématiquement un ticket d’entrée à plusieurs milliers d’euros. Dans la grande famille « pierre papier », en devenant propriétaire associé d’une SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier), 500 € peuvent suffire ; en devenant créancier en crowdfunding (financement participatif de projets immobiliers), 1 000 € sont requis ; et enfin, en devenant actionnaire d’une SIIC (Sociétés d’Investissement Immobilier Cotées), un seul billet de 100 € est réclamé.
Là encore, le concours d’un professionnel est nécessaire pour choisir la fiscalité la plus attractive pour le futur investisseur (fiscalité de l’assurance vie, des obligations ou du compte-titres…) et le rendement associé (loyers, intérêts ou dividende, générant environ de 4 % à 6 % net).
Si un placement sur le marché de l’immobilier vous intéresse, contactez le conseiller Bertrand-Demanes de votre ville (Paris, Bordeaux, Lyon, Rennes, Strasbourg, Nantes, Toulouse, Marseille, Brest, Angers, La Rochelle…). En fonction de vos besoins et objectifs (réduire vos impôts, placer votre épargne, préparer votre retraite ou développer votre patrimoine), il saura vous orienter vers les investissements les plus pertinents – en s’appuyant sur les dispositifs de défiscalisation en vigueur (comme la loi Pinel). À bientôt ?!
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Source :
https://www.mysweetimmo.com/2020/06/19/les-differentes-facons-dinvestir-dans-limmobilier/
https://avenuedesinvestisseurs.fr/investissement-immobilier/#menu2
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