09/06/2021
Conseils d'investissement
Chaque année, à cette époque, l’Obs dresse un état des lieux du marché immobilier dans les principales villes de France. Même s’il s’agit essentiellement d’une étude sur l’ancien, cela donne une tendance et confronte parfois l’écart des prix qui s’amoindrit avec le neuf. Aujourd’hui, c’est l’occasion de faire un point sur les villes de Province où Bertrand-Demanes vous propose d’investir – que ce soit en loi Pinel ou sous un autre dispositif de défiscalisation – en fonction de votre motivation (réduire vos impôts, placer votre épargne, préparer votre retraite ou développer votre patrimoine).
Après une tendance haussière sur la précédente décennie, les prix se stabilisent à Bordeaux autour de 4 000 € à 5 000 € le m² en moyenne. Mais, quelle que soit la situation du marché immobilier, les Bordelais continuent d’investir dans la pierre. Seul effet visible de la crise de la covid-19 : une demande plus prononcée pour des achats avec un extérieur – aussi bien des appartements avec balcons ou terrasse que des maisons avec jardin.
Mickaël Gauduchon, directeur d’Orpi cabinet Gauduchon, avance « des prix démentiels » à La Rochelle : la tension sur le marché immobilier s’accentue, avec un prix de 5 500 € par m², quand le neuf propose des prix entre 3 000 € et 4 260 € le m² hors parking. Cette grande ville étudiante en bord de mer, assiste à une recrudescence des demandes d’investissement sur des petites surfaces« sans aucune recherche de rentabilité » : lorsqu’un bien se libère, il est vendu presque immédiatement. Les acquéreurs les plus modestes préfèrent, quant à eux, s’éloigner, pour bénéficier d’un extérieur ou d’une pièce en plus.
Avec une augmentation des prix des appartements de 8,1 % en un an (3 410 € par m² en moyenne) et de 9,1 % pour les maisons (3 780 € par m² en moyenne), le marché immobilier lillois n’a jamais été aussi haut. La crise de la covid-19 dynamisant les ventes dans la pierre. Dans le neuf, entre le premier confinement, source de retards, et une « pause » des permis de construire, avant les élections municipales, ses opérations ne repartent que maintenant – notamment dans les deux ZAC Fives-Cail et l’écoquartier des Rives de la Haute-Deûle (RHD), à l’origine de nombreux programmes.
L’activité immobilière à Lyon est en dents de scie : un pic après le premier confinement, suivi d’un creux, de septembre à octobre, avant d’entamer une reprise en novembre et atteindre un fort niveau d’activité, au début de l’année 2021, à une période traditionnellement plus calme… La moyenne de 5 140 €/m² dans Lyon intra-muros cache de fortes disparités sur son territoire, avec des pointes à 10 000 €/m² près du parc de la Tête d’Or ou dans la Presqu’île. Une chose est sûre, à Lyon, mieux vaut se faire accompagner par un expert Bertrand-Demanes pour investir dans la pierre.
Si le prix médian dans l’ancien atteint 2 560 €/m² à la fin de l’année 2020 (+8,4 % sur un an), il cache de fortes disparités observées sur le territoire marseillais : au centre-ville, le prix d’un logement avec extérieur est davantage à 3 500 € m² (quand ce n’est pas plus du double, avec des biens de caractères avec vue mer). La tendance haussière se confirme, plus on se rapproche de la Méditerranée, alors qu’elle s’inverse dans les quartiers nord, à l’image du Canet (14e arrondissement) où le prix moyen est à 1 070 €/m².
Attirés par la situation géographique exceptionnelle de Nantes (proche de Paris, de Rennes et de la Baule), les nouveaux arrivants investissent dans la Cité des Ducs, malgré la hausse de ses prix (+13,4 % pour les appartements et +9,3 % pour les maisons). Dans ce contexte, les primo-accédants éprouvent des difficultés à se positionner : avec le conseiller Bertrand-Demanes, ils peuvent considérer un investissement locatif en loi Pinel, tout en n’étant pas propriétaires de leur résidence principale…
Dans l’immobilier ancien, le prix moyen est resté stable (+1 %), s’établissant autour de 4 400 €/m² en moyenne, avec des secteurs autour de 3 100 €/m² contre 6 000 €/m² dans le carré d’or. Les investisseurs sont soit des acquéreurs locaux, soit des Parisiens en quête de villas sur les hauteurs de Nice. Dans le neuf, le prix médian s’affiche à 5 732 €/m² sur le territoire de la Métropole Nice Côte d’Azur, avec de belles opérations, réservées à ceux qui savent les repérer…
Malgré la tendance haussière du marché immobilier rennais (+34 % en 5 ans dans la ville et + 30 % en première couronne), la demande reste très soutenue : les biens partent en moins d’une semaine, avec d’importantes listes d’attente, au cas où le processus d’acquisition s’enraye. Ville étudiante par excellente, les opportunités d’investissement locatif en loi Pinel sont à considérer, puisque près de 20,5 % de la population peine à se loger…
Strasbourg continue sa transformation : ainsi le nouveau quartier de gare rattrape les prix de Neudorf en s’établissant autour de 3 500 € m² (quand la moyenne sur l’Eurométropole est à 3 700 €/m², soit + 9 % en un an). La municipalité encourage aussi les propriétaires de logements vacants à les réhabiliter pour satisfaire une demande qui ne faiblit pas. Cette mue offre des opportunités d’investissement immobilier à considérer dès aujourd’hui : contactez vite le conseiller Bertrand-Demanes de la ville à ce sujet !
Avec une brusque chute du volume d’activité (15 à 30 % selon les professionnels) et une demande moins soutenue, les prix à Toulouse se sont tassés de l’ordre de -1 %, entre janvier 2020 et janvier 2021. Face à un marché immobilier au ralenti, la cote des quartiers reste la même : les investisseurs sont toujours attirés par les petites surfaces, autour des places du Capitole, Saint-Étienne et du quartier Saint-Georges, même si la hausse des prix sur certains quartiers en devenir témoigne aussi de leur intérêt…
La crise de la covid-19 a renforcé l’attractivité de la ville de Tours auprès des Parisiens : « un acheteur sur deux vient de la capitale et recherche une maison avec extérieur proche de la gare », souligne Camille Moreau, de l’agence Nestenn Tours Centre. Aux quartiers prisés de Velpeau, Febvotte, Rabelais ou encore les Prébendes, les investisseurs recherchent aussi les petites surfaces du centre historique. Selon la professionnelle, « ils se tournent aussi beaucoup vers La Riche. La présence d’étudiants en médecine et la future ligne de tram prévue pour 2024 les intéressent. » Tout comme les communes aux alentours, bien desservies par les transports en commun…
Bertrand-Demanes est également présent dans 5 autres villes de Province : Montpellier, Angers, Brest, Saint-Nazaire et Vannes. Pour connaître leurs tendances immobilières, n’hésitez pas à vous rapprocher du conseiller de la ville ! Certains quartiers en devenir peuvent mériter votre attention…
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