11/04/2022
Brest
Le Baromètre 2021 de « l’attractivité des métropoles françaises et de la résilience des territoires » distingue la ville de Brest en tête des métropoles intermédiaires (200 000 à 500 000 habitants). Du côté des experts de l’immobilier, si la pandémie a bien accéléré le volume des ventes, la Cité du Ponant surfait déjà, bien avant la crise sanitaire, sur des caractéristiques de mobilité similaires, identifiées par l’étude de l’INSEE et de l’Adeupa, menée en 2016-2017.
Alors que la métropole brestoise figurait à la 12e place du classement 2018, elle fait une remontée spectaculaire en 2021, pour prendre la tête des métropoles intermédiaires, devant Tours et Clermont-Ferrand. Pour le directeur Études & Recherche Arthur Loyd, Cevan Torrossian, la stratégie de marketing territorial pourrait expliquer ce beau résultat. En effet, depuis quelques années, la ville, le département (Finistère) et la région (Bretagne) ont affiché une volonté claire d’attirer et de rassembler.
Chaque année, Brest affiche des performances économiques constantes, créatrices d’emploi à haute valeur ajoutée. Elle bénéficie aussi d’un réel dynamisme démographique, portée par une part d’étudiants, plus élevée qu’à Nantes, et d’une vitalité, née de l’activité de ses start-ups. Enfin, elle applique une politique immobilière accueillante pour tous…
En 2017, l’INSEE et l’Adeupa dressaient un état des lieux des « mobilités résidentielles dans le pays de Brest ». Parmi les enseignements marquants de cette étude figuraient :
Aujourd’hui, force est de constater que ces éléments n’ont guère évolué. Si la pandémie a accéléré le volume des ventes, elle n’en a pas modifié les caractéristiques principales, identifiées lors de l’étude de l’INSEE et de l’Adeupa.
Aujourd’hui, les professionnels de l’immobilier témoignent de la réelle attractivité de Brest, constatée depuis plusieurs années. Dans la mesure où la métropole propose peu de maisons, les acquéreurs se sont d’abord tournés vers la première couronne, avant d’aller un peu plus loin, pour bénéficier de prix plus attractifs.
Comme en 2016-2017, les nouveaux arrivants sont principalement Bretons, voire Finistériens. Même si les Franciliens ont investi dans le territoire, ils n’y habitent pas, tout comme les investisseurs rennais et nantais. « Brest, pour eux, est hyperabordable, c’est une ville militaire, étudiante… », souligne Nicolas Begoc, un des trois directeurs des agences brestoises Century 21[1].
Et les notaires dressent le même constat : les tendances, jusqu’ici observées, n’ont pas connu de bouleversements notables avec la crise sanitaire. Le marché est globalement local, avec un goût prononcé pour l’achat de maison, source d’un espace devenu précieux avec la Covid-19.
Si, vous aussi, vous désirez investir dans cette métropole attractive, contactez le conseiller Bertrand-Demanes de Brest ! Bien implanté dans le territoire, il en connaît tous ses secrets et ses secteurs à fort potentiel.
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Sources :
https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/l-attractivite-de-brest-profite-a-tout-le-monde-en-termes-de-logements-01-03-2022-12931027.php
https://www.pays-de-brest.fr/le-pole/territoire/62-fonctions-metropolitaines-attractives
https://actu.fr/bretagne/brest_29019/metropole-la-plus-attractive-brest-decroche-la-palme-d-or_46887689.html
https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/les-demenagements-dans-le-pays-de-brest-a-la-loupe-01-03-2022-12930958.php
[1] Citation : https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/l-attractivite-de-brest-profite-a-tout-le-monde-en-termes-de-logements-01-03-2022-12931027.php
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