Le marché immobilier d’Angers après le confinement
04/06/2020
Conseils d'investissement
La nouvelle tendance post-déconfinement
Traditionnellement, le mois d’avril est le mois des bilans pour le logement français : les principaux réseaux dressent une première esquisse du marché, construite avec leurs chiffres du premier trimestre. À cause du coronavirus, la prudence est de mise.
Mais les « enseignements » du confinement demeurent : la volonté de plus de la moitié des Français de maintenir leur projet immobilier, même si celui-ci peut avoir légèrement évolué… Selon Yann Jéhanno, directeur de Laforêt France, ils ont « vécu pendant 2 mois, les yeux dans les yeux avec [leur] logement. [… Ils] ont identifié des défauts. »[1]
La vie de confinés a fait naître de puissantes envies de changement : de plus grands espaces (avec une pièce pour organiser le télétravail) et du calme, quitte à s’éloigner de son lieu de travail. Et pour preuve de cette nouvelle réalité immobilière, « les requêtes pour les recherches de maisons ont progressé de 12 % par rapport à la même période de l’année dernière ».
Angers, reflets des nouveaux besoins immobiliers ?
Pour Michaël Benchabat, président du réseau de MeilleursBiens.com : « On pourrait même imaginer que la maison secondaire, dans une ville accessible à quelques heures en TGV, soit la grande gagnante du marché de l’immobilier après le confinement. Je pense à des villes attractives pour ces raisons comme Nantes, Rennes, Bordeaux, Lyon, voire Marseille ».[2] Mieux, la ville d’Angers satisfait cette exigence (1 h 30 de Paris), tout en proposant des prix immobiliers plus « raisonnables » que ces grandes villes.
Yann Jéhanno prévoit aussi « une explosion du marché du locatif » ! À très court terme, les Français vous vouloir trouver des maisons avec jardin – et idéalement piscine – pour se retrouver entre amis ou en famille cet été. Une occasion donnée aux « Français qui voudraient réfléchir à changer de cadre de vie ». Parallèlement, selon l’expert « les étudiants vont sûrement, dès cet été, devoir retrouver un logement pour la rentrée ».2 Là encore, Angers pourrait tirer son épingle du jeu – en raison de sa situation géographique exceptionnelle entre terre et mer, et de sa population jeune et très estudiantine.
Selon Guillaume Rousseau, Associé Gérant chez Alain Rousseau Immobilier Comine, « face à la chute des marchés financiers, la pierre tend à rassurer. On aura toujours besoin de se loger. De plus, lorsque l’on est propriétaire de son logement, on n’a plus de loyer à payer. Enfin, en France, nous faisons face à un déficit de logements et il ne semble pas près de se combler… »[3] N’hésitez pas à discuter des opportunités angevines avec un conseiller Bertrand-Demanes !
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Autres sources :
https://angers.maville.com/actu/actudet_-coronavirus.-gele-par-le-confinement-le-marche-de-l-immobilier-ignore-ou-il-va_54135-4063933_actu.Htm
[1] Citation : https://www.europe1.fr/economie/pourquoi-la-fin-du-confinement-booste-les-recherches-de-nouveaux-logements-3968801
[2] Citation : https://www.mieuxvivre-votreargent.fr/articles-a-la-une/2020/05/05/immobilier-tendances-sortie-confinement/
[3] Citation : https://edito.seloger.com/actualites/villes/angers-sera-physionomie-marche-immobilier-apres-confinement-interview-37156.html
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